un autre regard
lundi 23 mai 2011
dimanche 5 décembre 2010
samedi 22 mai 2010
mercredi 12 mai 2010
La femme libre
Une femme c’est un cœur sensible,
Et une tendresse légèrement placée,
Une femme c’est la pensée irrésistible
Ce n’est pas comme un objet fracassé.
Une femme c’est un secret que l’on raconte,
A tout moment, comme une fleur épanouie
Une femme c’est l’affirmation sans honte
Qui s’adresse à la lune d’une voix ravie.
Une femme c’est un passage dans un chemin
Donnant ses larmes en goutte de pluie
A un être idéal, tendant sa main
Une femme c’est l’expression de l’infini
Une femme c’est un cœur sensible,
Et une tendresse légèrement placée,
Une femme c’est la pensée irrésistible
Ce n’est pas comme un objet fracassé.
Une femme c’est un secret que l’on raconte,
A tout moment, comme une fleur épanouie
Une femme c’est l’affirmation sans honte
Qui s’adresse à la lune d’une voix ravie.
Une femme c’est un passage dans un chemin
Donnant ses larmes en goutte de pluie
A un être idéal, tendant sa main
Une femme c’est l’expression de l’infini
M
essage
Pourquoi compliquer ses pensées ? Alors que la vie serait si simple, Recherche l’espoir dans des périodes difficiles. Quand agira-t-on dans ce pays délaissé, Perturbent les gens aux travail, cet esprit où l’ennuie se cristallise. Pourtant la colère est telle une bataille,
Que l’orage poursuit et brise, Pourquoi pas à pas l’égalité n’avance plus, A t-on beau crier révolution !! Lorsque la misère, ne trouve pas de solution. Quelle importance cette présence qui tue,
Ce qui compte, c’est de croire à la vie, au bonheur….
essage
Pourquoi compliquer ses pensées ? Alors que la vie serait si simple, Recherche l’espoir dans des périodes difficiles. Quand agira-t-on dans ce pays délaissé, Perturbent les gens aux travail, cet esprit où l’ennuie se cristallise. Pourtant la colère est telle une bataille,
Que l’orage poursuit et brise, Pourquoi pas à pas l’égalité n’avance plus, A t-on beau crier révolution !! Lorsque la misère, ne trouve pas de solution. Quelle importance cette présence qui tue,
Ce qui compte, c’est de croire à la vie, au bonheur….
dimanche 18 avril 2010
Vague à l'âme,
En marchant sur la plage
j'éprouve une sensation de liberté
Mes yeux se dirigent ves les nuages.
tout autour de moi, des gens allongés
ils respirent comme des oiseaux qui
volent dans le ciel bleu
le bruit des vagues repose notre corps
fragile et peureux
le soleil illumine la surface de l'eau
le vent souffle dans mes cheveux
Mon coeur se serre dans un étau
des larmes coulent sur les jours heureux.
En marchant sur la plage
j'éprouve une sensation de liberté
Mes yeux se dirigent ves les nuages.
tout autour de moi, des gens allongés
ils respirent comme des oiseaux qui
volent dans le ciel bleu
le bruit des vagues repose notre corps
fragile et peureux
le soleil illumine la surface de l'eau
le vent souffle dans mes cheveux
Mon coeur se serre dans un étau
des larmes coulent sur les jours heureux.
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