Pourquoi
Pourquoi sourire, quand l'hiver nous refroidit?
Pourquoi être triste , quand l'automne fait tomber les feuilles?
Pourquoi se lever, quand la pluie s'agite et fouette le visage?
Pourquoi dormir, quand nos yeux ne veulent pas se fermer?
Pourquoi courir quand nos jambes semblent faibles ?
Pourquoi parler pour dire des mots sans importances?
Pourquoi vouloir grandir sans confiance en l'avenir?
lundi 22 février 2010
mercredi 17 février 2010
ल'Inde
un pays surprenant
Toutes ses couleurs respirent la gaieté
Autour de cette misère d'anxiétés
La vie est plus calme d'esprit
Quand les religions sont réunies
A travers ce paysage somptueux
Songent des personnages respectueux
Sous ce ciel et ces mouvements malicieux
Semblent étonnés de ces changements délicieux
Cet univers dont chacun à sa croyance
Mystique mais certainement apaisante
La douleur s'efface au rythme de la danse
La joie se transmet dans l'ambiance
Comme cette culture est si surprenante
Et envahit d'aventures entraînantes
Donne une image de liberté
Avec enthousiasme, invite le bonheur d'exister.
Marianne.
En pays Dogons
Oh ! Chaleur, paysans de rêve
Vers qui l’avenir nous mène,
Dans un monde mélangé
Plein de couleurs enchantées
Un autre lieu, une autre vie
Nous montrent la patience infinie
Paysage désertique et sécheresse,
Dont la soif nous hante et laisse
Notre peau bronzée par le soleil,
L’ambiance joyeuse, nous réveille
Rien qu’un sourire, un geste de main
Et la paix apparaît comme un oiseau
Planant dans le ciel lointain.
Oh ! Chaleur, paysans de rêve
Vers qui l’avenir nous mène,
Dans un monde mélangé
Plein de couleurs enchantées
Un autre lieu, une autre vie
Nous montrent la patience infinie
Paysage désertique et sécheresse,
Dont la soif nous hante et laisse
Notre peau bronzée par le soleil,
L’ambiance joyeuse, nous réveille
Rien qu’un sourire, un geste de main
Et la paix apparaît comme un oiseau
Planant dans le ciel lointain.
A dix huit heure en
Hiver
A dix huit heure, enchante l’horizon
Où le vent efface ces images
A travers le souffle, fatigue des sons
De la musique flottante et sauvage.
A dix huit heure, disparaît le soleil vivant
Dans cet univers croyant être endormie
La nuit cache le jour de peur, lentement
Elle s’ennuie, respire comme l’hiver infini
A dix huit heures, chasse les craintes désespérées
Marque la folie des orages effrayants
Claque les portes secrètes, séparées
L’endroit où passe les gens délirants
A dix huit heure, brusquement renaît
Une vie effleurant les tristesses
Reculant les peines, gardienne de la paix
A dix huit heure, les nuées ondulent de sagesses.
Hiver
A dix huit heure, enchante l’horizon
Où le vent efface ces images
A travers le souffle, fatigue des sons
De la musique flottante et sauvage.
A dix huit heure, disparaît le soleil vivant
Dans cet univers croyant être endormie
La nuit cache le jour de peur, lentement
Elle s’ennuie, respire comme l’hiver infini
A dix huit heures, chasse les craintes désespérées
Marque la folie des orages effrayants
Claque les portes secrètes, séparées
L’endroit où passe les gens délirants
A dix huit heure, brusquement renaît
Une vie effleurant les tristesses
Reculant les peines, gardienne de la paix
A dix huit heure, les nuées ondulent de sagesses.
mardi 16 février 2010
la réalitée qui tue l'enfance en soie,
dont se refuge mon corps blottie,
dans ces douces paroles aveuglantes,
permet une sage respiration ,
cette vie pleine de ressource,
partageant avec humeur jonglante,
où ces instants de bonheurs,
empèche les idées noirs de montés,
sensation peut-être mélancolique ,
et parfois même apaisante ....
dont se refuge mon corps blottie,
dans ces douces paroles aveuglantes,
permet une sage respiration ,
cette vie pleine de ressource,
partageant avec humeur jonglante,
où ces instants de bonheurs,
empèche les idées noirs de montés,
sensation peut-être mélancolique ,
et parfois même apaisante ....
dimanche 14 février 2010
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