A dix huit heure en
Hiver
A dix huit heure, enchante l’horizon
Où le vent efface ces images
A travers le souffle, fatigue des sons
De la musique flottante et sauvage.
A dix huit heure, disparaît le soleil vivant
Dans cet univers croyant être endormie
La nuit cache le jour de peur, lentement
Elle s’ennuie, respire comme l’hiver infini
A dix huit heures, chasse les craintes désespérées
Marque la folie des orages effrayants
Claque les portes secrètes, séparées
L’endroit où passe les gens délirants
A dix huit heure, brusquement renaît
Une vie effleurant les tristesses
Reculant les peines, gardienne de la paix
A dix huit heure, les nuées ondulent de sagesses.
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